Extrait de l'article de Wikipedia qui lui est consacré

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Affaires judiciaires
En 1978, elle assigne son père en justice car celui-ci refuse de payer ses études universitaires. Après de nombreuses années, elle obtient gain de cause[147].
Après la dissolution de 1997, Ségolène Royal a conservé trois collaboratrices (dont Mme Evelyne Pathouot, actuelle attachée des députés vosgiens Jean-Jacques Gaultier et Michel Heinrich) lors des élections législatives. Suite à un litige sur les salaires, ces dernières saisissent le conseil de prudhommes de Niort et obtiennent en 1999 une condamnation de Ségolène Royal à un rappel de salaires de trois semaines (sur les trois mois demandés). En 2001, Ségolène Royal est déboutée de la plainte pour « diffamation » qu'elle avait déposée contre ses anciennes collaboratrices qui portent plainte au pénal pour « recours au travail clandestin », mais Ségolène Royal obtient un non-lieu en 2003[148].
(Liberté de l'Est - 19/01/2007) Non-lieu annulé par la cour de Cassation, estimant que les juges poitevins n'auraient pas dû se borner à confirmer le jugement des prud'hommes, sans examiner les pièces nouvelles que Mme Pathouot souhaitait verser au dossier
Le quotidien Sud Ouest en date du 7 novembre 2006 rapporte qu'une plainte pour harcèlement moral aurait été déposée contre Ségolène Royal par Olivier Chupin, directeur du Fonds régional d'art contemporain de Poitou-Charentes.[149]. La plainte, déposée six mois après les faits qui sont reprochés à Ségolène Royal (la délocalisation du Frac) et après que cette dernière a démissionné de la présidence du Frac, semble politiquement opportuniste à l'intéressée, qui commente : « C'est une plainte sans aucun fondement qui intervient dans un contexte politique qui n'est pas neutre. Elle ne débouchera sur rien[150]. »

Entourage familial
Ses parents Jacques Royal et Hélène Dehaye ont eu huit enfants en neuf ans ; en ordre décroissant: Marie-Odette, Marie-Nicole, Gérard, Marie-Ségolène, Antoine, Paul, Henry et Sigisbert[70].
Gérard Royal est un ancien lieutenant de la DGSE. Il aurait été impliqué dans l'affaire du Rainbow Warrior (l'homme au bonnet rouge) : il a transporté les deux plongeurs de la 2e équipe (la première équipe étant Dominique Prieur et Alain Mafart) à l'origine du sabotage du bateau de Greenpeace en 1985. En signe de protestation, Ségolène Royal - qui, semble-t-il, ignorait les activités de son frère - aurait projeté de rallier l'atoll de Mururoa, en compagnie de militants d'associations antinucléaires[151]. Mais la crédibilité de cette explication ne paraît pas certaine, vu l'obligation de réserve qui s'imposait à Ségolène Royal en tant que chargée de mission de l'Elysée, et le secret d'Etat qu'elle est également censée respecter[152].
Antoine Royal, a milité au RPR et est un ancien dirigeant d'entreprises de scierie et de transformation de bois qui ont fait l'objet d'une liquidation judiciaire.[73]. Il a été mis en examen pour escroquerie et abus de biens sociaux. C'est lui qui a également révélé aux médias le rôle joué par son frère Gérard Royal dans l'affaire du Rainbow Warrior.
Pierre Royal, cousin germain de Ségolène, a également écrit un livre sur sa situation personnelle. Il dénonce dans son ouvrage le traitement qu'il a subi de la justice et de la prison à la suite de sa mise en examen pour viol sur mineure et des dix mois de prison qu'il a fait en détention préventive avant d'être acquitté par la cour d'assises.
Anne-Christine Royal, cousine germaine de Ségolène[153], a été candidate Front National aux élections cantonales de Bordeaux en 1999[154], et fait partie du comité de soutien à Jean-Marie Le Pen[